Décidément, amatrices et amateurs d’animation de tous âges ont de quoi se réjouir en cette rentrée 2025.  Au-delà des ressorties du Tombeau des lucioles et d’autres chefs d’oeuvre des studios Ghibli comme Princesse Mononoké, et la sortie attendue de Demon Slayer le 17 septembre, Walt Disney propose cette semaine une ressortie de Toy Story, qui souffle cette année sa trentième bougie.

Le Tombeau des lucioles ressort dans les salles ce mercredi 27 août. L’occasion pour Surimpressions de se replonger dans ce chef d'œuvre d’Isao Takahata, souvent considéré comme l’un des films les plus tristes de l’histoire du cinéma.

Comme souvent chez Kurosawa, le récit prend la forme d’une parabole. Son Mr. Watanabe agit d’abord comme un androïde, un rouage d’une municipalité morne, encore meurtrie par les traumas de la Seconde Guerre mondiale. Un plan mémorable au début du métrage nous montre d’ailleurs le personnage littéralement englouti par la paperasse qui s’amoncelle sur son bureau. Son destin funeste va agir comme un révélateur du monde qui l’entoure, et de sa propre force active sur celui-ci. 

Pour son premier long métrage, tourné alors qu’il n’avait que 24 ans, Nicolas Winding Refn s’enfonce dans le quotidien violent et désenchanté de Frank, un petit dealer de drogue évoluant dans les rues de Copenhague.

En 2001, Gene Hackman a quasiment tiré sa révérence cinématographique avec cette comédie du désespoir.

Sorti en 1994, Incoherence est le film de fin d’études de Bong Joon-ho. De sa deuxième vie d’étudiant, après celle dédiée à la sociologie.

Hier David Lynch est décédé, à 78 ans. En hommage à ce cinéaste visionnaire, Surimpressions re-partage ce dossier sur son chef d'oeuvre.

Revoir Le Roi Lion, c’est savourer la beauté d’un médium au sommet, alors que l’ère du numérique s’annonce déjà, encore balbutiante.

La rétrospective de l’œuvre du réalisateur hongkongais Wong Kar-wai au Cinéma Galeries

Massacres. Torture psychologique. Body horror.

Classique parmi les classiques, le film d’Akira Kurosawa fait partie de ces œuvres vraiment impérissables.

Si le charme de La Barbe à papa doit beaucoup à l’alchimie entre le père et la fille, il est davantage redevable au génie de Tatum O’Neal.

On avait presque oublié à quel point Tim Burton s’était imposé à Hollywood comme un cinéaste hors-pair, profondément original.

Sōmai raconte le deuil de l’innocence et n’est pas tendre avec la société japonaise et ses personnages adultes.

Le film s’ouvre sur un générique qui clapote au rythme de la musique de Michel Legrand, et qui nous fait découvrir la Piscine.

Au début des années 2000, un film est venu mordre à pleines dents dans un genre qu’on croyait quelque peu éculé : 28 jours plus tard.

Le film frappe toujours par sa capacité à créer de l’empathie envers le tueur — un jeune homme timide et traumatisé.

Explorer l’histoire à travers le destin d’une poignée de personnages ; la méthode est classique au cinéma.

Il a fallu presque dix ans à la réalisatrice Sally Potter pour mener à bien son adaptation cinématographique du livre de Virginia Woolf.

Dans les premières minutes du film, le Cameroun nous apparaît comme paradisiaque et la femme qui arpente ses plages comme une touriste.